Business lunch: communiquer pour l'Eglise
Revue
Comment communiquer sur des sujets qui touchent aux convictions religieuses sans faire de propagande ni de prosélytisme?
Le moins qu'on puisse dire, c'est que la religion est un sujet délicat. Hautement émotionnel, lié aux convictions personnelles, il s'est beaucoup effacé depuis les grands combats pour la laïcisation, au 19e siècle.
Pourtant, les églises existent. Elles communiquent et savent se rendre visibles. A une époque de grandes remises en question et de préoccupations éthiques, elles ont un rôle à jouer dans le débat public. Mais comment prendre la parole sur des sujets aussi sensibles sans se voir accuser de propagande ou de prosélytisme? Qu'est-ce que la communication des religions peut apprendre aux autres pros de la communication et des RP?
Le 20 septembre, Caroline Stevens viendra partager son expérience sur cette thématique à laquelle elle se frotte de près puisqu'elle occupe le poste de responsable de la communication pour les paroisses du décanat de Fribourg depuis l'été 2021.
Caroline Stevens
Née à Genève il y a 40 ans, Caroline se définit comme une chrétienne de cœur mais non pratiquante. Elle n'aurait jamais envisagé travailler dans ce domaine il y a quelques années... Sa curiosité et son goût pour les challenges l'ont amenée à sauter le pas!
Avant l'Église, elle a géré les relations presse de Visions du Réel (Festival international de cinéma documentaire à Nyon) durant quatre éditions, collaboré comme journaliste avec différents titres de l'arc lémanique et obtenu un DAS Responsable communication à la HEG (Haute école de gestion HES) de Genève.
Depuis 2020, elle siège en qualité d'élue Verte au Conseil communal de Moudon.
Pour garantir une conversation de qualité, la participation est limitée à 12 places. Inscrivez-vous vite!
Business lunch
Le concept est tout simple: le temps d'un repas, une douzaine de convives se rassemblent autour d'un·e intervenant·e qui vient partager son expérience sur un sujet particulier. La participation est gratuite et chacun·e paie son repas.